Maudit, renié par son père qui n'a pas accepté la fatalité d'un enfant albinos.
Rejeté par sa famille de noblesse mandingue : formellement interdit de devenir musicien!
Salif Keita, miraculé, s'en sort : vivant.
Béni, il devient l'artiste le plus emblématique de tout le continent africain.
Malien il continue à chercher ailleurs son inspiration et son salut musical.
Une voix baroque, puissante, magnétique.
Il a remporté un succès époustouflant en 2008 au Festival de Musiques du Désert à Essakane au Mali (80km de Tombouctou), où je me rendrai en janvier 2010, mais je ne sais pas encore s'il s'y produira cette année.
Ecoutez donc :
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